Elles se répartissent entre deux recueils, Sans alcool (1961) et De mémoire d’oubli (1973). Rappelant celles de Katherine Mansfield qu’admirait Alice Rivaz, elles saisissent un détail objectif – une pierre tombale, une femme dans un café, de nouvelles techniques de transmission du discours politique… – à partir duquel les lecteurs sont invités à reconstituer la complexité de l’être au monde et les tiraillements subis par les femmes et les hommes dans une société moderne.
Sans alcool
Une langue sobre, un discours lisse et sans emphase, des mots qui frappent et des histoires qui prennent ainsi une intensité particulière, telles sont les principales caractéristiques des nouvelles de ce recueil.
De mémoire et d’oubli
Publié en 1973, alors qu’Alice Rivaz était au sommet de son art, De mémoire et d’oubli est constitué de dix-neuf courts récits.